Revue de Paris, Volume 18Demengeot & Goodman, e.a., 1831 |
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Halaman 146 - Oh ! lorsqu'un lourd soleil chauffait les grandes dalles Des ponts et de nos quais déserts, Que les cloches hurlaient, que la grêle des balles Sifflait et pleuvait par les airs; Que dans Paris entier, comme la mer qui monte, Le peuple soulevé grondait, Et qu'au lugubre accent des vieux canons de fonte La Marseillaise répondait...
Halaman 148 - Paris, si beau dans sa colère, Paris, si plein de majesté Dans ce jour de tempête où le vent populaire Déracina la royauté; Paris, si magnifique avec ses funérailles, Ses débris d'hommes, ses tombeaux, Ses chemins dépavés et ses pans de murailles Troués...
Halaman 146 - C'était sous des haillons que battaient les cœurs d'hommes; C'étaient alors de sales doigts Qui chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre; C'était la bouche aux vils jurons Qui mâchait la cartouche, et qui, noire de poudre, Criait aux citoyens : Mourons!
Halaman 146 - Quant à tous ces beaux fils aux tricolores flammes , Au beau linge, au frac élégant, Ces hommes en corset, ces visages de femmes, Héros du boulevard de Gand , Que faisaient-ils, tandis qu'à travers la mitraille, Et sous le sabre détesté, La grande populace et la sainte canaille Se ruaient à l'immortalité...
Halaman 149 - Allons! » Quand le sanglier tombe et roule sur l'arène, Allons ; allons! les chiens sont rois; Le cadavre est à nous, payons-nous notre peine, Nos coups de dents et nos abois; Allons, nous n'avons plus de valet qui nous fouaille • Et qui se pende à notre cou ; Du sang chaud, de la chair, allons, faisons ripaille, Et gorgeons-nous tout notre...
Halaman 148 - Un égout sordide et boueux, Où mille noirs courants de limon et d'ordure Viennent traîner leurs flots honteux ; Un taudis regorgeant de faquins sans courage, D'effrontés coureurs de salons, Qui vont de porte en porte, et d'étage en étage, Gueusant quelques bouts de galons ; Une halle cynique aux clameurs insolentes, Où chacun cherche à déchirer Un misérable coin des guenilles sanglantes Du pouvoir qui vient d'expirer.
Halaman 200 - C'est qu'en effet le nom d'une figure typique n'est plus l'étiquette banale qu'on attache au socle d'un buste ou aux plinthes d'un bas-relief; c'est le signe représentatif d'une conception, d'une création, d'une idée. Aujourd'hui même le titre de héros et de demi-dieu parle moins à la pensée que le nom d'Achille.
Halaman 243 - ... conséquence obligée de ce doute, de cette indifférence. — Toutes les fois que ces grands problèmes sociaux ont été résolus, il ya eu époque organique; toutes les fois qu'ils sont demeurés sans solution, il ya eu époque critique. Aux époques organiques, le but de l'activité...
Halaman 147 - Se plait aux cris du peuple, aux sanglantes mêlées, Aux longs roulements des tambours, A l'odeur de la poudre, aux lointaines volées Des cloches et des canons sourds; Qui ne prend ses amours que dans la populace, Qui ne prête son large flanc Qu'à des gens forts comme elle, et qui veut qu'on l 'embrasse Avec des bras rouges de sang.
Halaman 149 - Tout se lance, et tout crie : « Allons ! Quand le sanglier tombe et roule sur l'arène, Allons, allons ! les chiens sont rois ! Le cadavre est à nous ; payons-nous notre peine, Nos coups de dents et nos abois. Allons ! nous n'avons plus de valet qui nous fouaille Et qui se pende à notre cou ; Du sang chaud, de la chair, allons, faisons ripaille, Et...