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lesquels, après avoir trouvé leurs pleins pouvoirs en bonne et due forme, sont convenus des articles suivants: Art. I. Le corps de troupes Autrichiennes destiné à rester temporairement dans le Grand-duché sera, quant à présent, fort de 10,000 Combattants, et composé proportionnellement de toute arme.

Il sera muni, à l'instar d'une division d'armée détachée, d'une artillerie de réserve convenable, ainsi que de tout le nécessaire.

Cette division dépendra, quant à son organisation intérieure et à sa discipline, du Général-Commandant de l'armée Autrichienne de la haute Italie, dont elle fait partie.

La force numérique de cette division pourra être modifiée de commun accord entre les deux hautes parties contractantes; il est toutefois entendu qu'elle ne pourra, dans aucun cas être diminué au dessous de 6,000 hommes.

Tout ce qui a rapport à l'évacuation entière du Grandduché sera également réglé de commun accord entre les hautes parties contractantes, chacune d'elles se réservant dès à présent le droit d'initiative au sujet de cette question.

Art. II. La dislocation des troupes aura lieu, tout en ayant égard aux règles militaires et aux besoins du moment, d'un commun accord entre le Commandant de la division et le Gouvernement Grand-ducal.

Le renouvellement des troupes, en partie ou au total, dans les limites du nombre stipulé par l'Article I. du présent traité, dépendra du Commandant en chef de l'Armée d'Italie.

Quant aux citadelles ou forts des endroits qu'occuperont les troupes Autrichiennes S. A. I. et R. le Grandduc s'engage à les faire mettre en état de défense et pourvoir de provisions de guerre et de bouche convenables.

Art. III. Touchant les frais d'entretien des troupes autrichiennes pendant leur séjour en Toscane, S. M. l'Empereur d'Autriche, mu par une considération bienveillante et amicale des conditions actuelles du Grand-Duché, renonce à toute indemnité de la paie ordinaire et des frais d'équipement de la troupe, lesquels continueront à être à la charge du trésor Imperial.

En revanche, le Gouvernement Grand-ducal s'engage à supporter tous les autres frais d'entretien, soit en na

ture soit en argent, d'après les tarifes annexés à cette convention, dont ils forment, dans toute leur étendue, une partie intégrante.

Art. IV. Il sera immédiatement procédé à la nomination de Commissaires autrichiens et toscans pour la liquidation des frais, sans exception aucune, du corps d'occupation, depuis le jour de son entrée sur le sol du Grand-duché jusqu'au jour de l'échange des ratifications du présent traité.

À cette liquidation serviront de base les tableaux authentiques dressés d'après le règlement autrichien, et la force numérique du corps sera calculée d'après l'état effectif qui a réellement existé aux differentes époques.

Art. V. Toutes les lettres et tous les paquets concernant le service des troupes Impériales ainsi que leurs communications avec les autorités grand-ducales, et qui seront munis d'un cachet d'office, seront reçus et délivrés sans paiement par les bureaux de la poste grandducale; on tiendra à cet égard un journal régulier, ou bien on échangera des reçus de part et d'autre. Toutes les lettres particulières provenant de militaires autrichiens ou adressés à ceux-ci seront sujettes au tarif ordinaire. De même les Courriers et autres individus du corps de troupes autrichiennes, voyageant en poste, seront également tenus à payer comptant les frais de poste d'après le tarif usité.

Art. VI. Les effets d'équipement et objets divers, destinés ou appartenant aux troupes autrichiennes seront exempts du paiement des droits de douane tant à l'entrée qu'à la sortie ainsi qu'à l'intérieur du pays.

Les militaires voyageant avec une feuille de route ou avec un ordre ouvert constatant leur qualité, seront pareillement exempts de tout droit de douane et de péage pour leur personne comme pour leurs effets.

Les Courriers de service militaires, enfin, seront en outre exempts de toute visite à la douane, tant pour leur personne que pour leurs effets, leurs lettres et leurs paquets.

Art. VII. Le présent traité sera ratifié, et l'échange des ratifications aura lieu à Florence dans l'espace de trente jours ou plutôt si faire se peut.

Art. VIII. Le présent traité entrera en vigueur à dater du jour de l'échange des ratifications.

En foi de quoi les Plénipotentiaires respectifs ont

signé le présent traité et y ont apposé le cachet de leurs

armes.

Fait à Florence le vingt-deux Avril mil-huit-cent-cinquante.

(Le Bar. C. de Hügel,)

m. p.

Le Duc de Casigliano, m. p.

Beilage zum Tractate 1.

Tarif I

über die von der grossherzoglich toscanischen Regierung zu bestreitenden gewöhnlichen Auslagen für die k. k. Truppen.

1: Im Gelde.

Der Mehrbetrag der Kriegs- über die Friedensbesoldung für sämmtliche Generäle, Officiere, Beamte und die übrigen Individuen nach den Uebersichten A und B, dann Ein Drittel der ganzen Kriegsgebühr als ausserordentliche Zulage für dieselben, wie diess aus der oben angeführten Uebersicht sub A hervorgeht.

Der Feldbeitrag der Mannschaft, dann die Zulage, die sie im Auslande geniesst, mit Einem Kreuzer täglich; was ferner die Fleisch- und Gemüsezulage betrifft, so hat die grossherzoglich toscanische Regierung zu tragen die Differenz zwischen den gewöhnlichen Fleisch- und Theuerungsbeiträgen für die Mannschaft und der Zulage, à fünf Kreuzer pr. Kopf täglich, immer auf Grundlage der obigen Uebersichten sub A und B.

Der Unterschied der Pauschalgelder nach dem Friedens- und Kriegsausmasse.

2. In Natural-Leistungen.

Den Officieren aller Grade, die Generalität mit inbegriffen, so wie den Armee-Administrations-Beamten, und den nach dem österreichischen Systeme hiezu berechtigten Individuen der Truppen oder der verschiedenen Branchen gebühren die unentgeltlichen Kriegs-NaturalLeistungen oder deren Ablösung (Reluition) mit zehn Gulden für jede Pferd- und mit zwei Gulden 30 kr. C. M. für jede Brotportion monatlich.

Der Mannschaft vom Unterofficier abwärts mit Einschluss der k. k. Cadeten und aller jener Individuen, welche vom k. k. Aerar mit Montur versehen werden,

gebührt täglich eine Brotportion im Gewichte von 134 Pfund oder die Reluition dafür nach dem wahren Werthe. Die gewöhnliche Fourageportion für jedes Dienstpferd eines Primaplanisten, Officiers oder sonstigen Armee-Individuums besteht in Wiener-Mass Hafer oder Spelt 8 Metzen.

Da wo es zeitweise nicht möglich sein sollte, den Hafer herbeizuschaffen, und solcher auch nicht aus den k. k. österreichischen Magazinen gegen Vergütung der Anschaffungs- und Transportskosten zugeführt werden könnte, ist statt des Hafers an Gerste 10 Metzen, oder geschrottetem Kukuruz (sogenanntem türkischem Weizen) 12 Metzen zu verabreichen.

Andere Surrogate, als z. B. Bohnen, Erbsen und andere Körnergattungen sind als Pferdefutter nie anzunehmen.

Die Heuportion besteht im Wiener-Gewichte in 10 Pfund oder als Surrogat Weizenstroh in 14 Pfund, Streustroh in 3 Pfund.

Nach Umständen kann statt einer halben Portion Heu eine halbe Portion Hafer und umgekehrt verabfolgt werden.

Die Portionen für Pferde der Artillerie-, Laufbrücken-, Pontons-, Feldbacköfen-Bespannungen, so wie der zum Transports-Fuhrwesensdienste verwendeten Pferde, wenn sie mit Ladungen marschiren, bestehen, in soferne sie nach dem in der österreichischen Armee geltenden Systeme entweder zeitweise oder fortdauernd gebühren, in der Erhöhung des Haferausmasses um 16 bis 2/16 Metzen.

Da alle hier angegebenen Erfordernisse nach österreichischem Masse und Gewichte zu liefern sind, so bleibt es den toscanischen Behörden überlassen, das Verhältniss derselben zu den Local-Massen und Gewichten zu bestimmen.

Rauchtabak.

Da die Truppen an den Rauchtabak gewohnt und die Soldaten nicht im Stande sind, sich solchen zu hohen Preisen für ihren Bedarf anzuschaffen, so wird festgesetzt, dass für jeden starken Raucher monatlich zwei Pfund und für jeden schwachen Raucher monatlich anderthalb Pfund Rauchtabak im Wienergewichte gegen Bezahlung von 12 Kreuzer pr. Pfund auf kriegscommis

sariatisch angewiesene Quittung und Journal verabreicht werden.

Uebrigens muss die Beobachtung der gegen Unterschleife in diesem Artikel bei der k. k. österreichischen Armee bestehenden Vorschriften von Seite der Regiments-, Bataillons- und sonstigen TruppenabtheilungsCommandanten strenge gehandhabt werden.

Bequartierung.

Wenn die Truppe sich auf Märschen befindet, oder auch sonst bei Bürgern und Landlenten einquartiert ist, gebührt sowohl der Generalität als den Officieren und Militärbeamten jeden Ranges die angemessene Wohnung für sich und ihre Diener mit der nöthigen Einrichtung sammt Betten, Beleuchtung und Beheizung.

Der Mannschaft vom Unterofficier abwärts gebührt eine bequeme Lagerstätte, Licht und Feuer gemeinschaftlich mit dem Quartiergeber.

Endlich sind die nöthigen Stallungen für Pferde ein

zuräumen.

Alle diese Erfordernisse sind ohne Vergütung zu leisten.

Wenn die Einquartierung in Casernen oder in öffentlichen Gebäuden Statt findet, ist nebst der vollständigen Zimmer- und Bett-Einrichtung, das Holz zum Kochen und zum Heizen oder Kohlen.sammt dem dazu gehörigen Unterzündholze, die Beleuchtung der Zimmer, der Gänge etc. etc. nach Massgabe der Localitäten und des Bedarfes auf Kosten der grossherzoglich toscanischen Regierung beizuschaffen.

Das Nämliche versteht sich auch rücksichtlich der Wachstuben, der Schilderhäuser und Stallungen mit Sattel- und Fouragekammern.

Vorspann.

Da für gewöhnliche Dienstreisen und Sendungen, für Fassungen und Transporte von Geld, Montur und Munition die Officiere der betreffenden Truppen so wie die Regimenter, Bataillons, die Truppencorps und andere Branchen und Militär-Individuen bereits mit vorschriftsmässigen Reit-, Pack- und Fuhr-Pferden, worauf sie die Kriegsnaturalien beziehen, versehen sein müssen, so findet zu diesem Behufe eine Beistellung von Vorspann oder wie immer gearteten Landestransports-Mitteln in der

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